Sur cette photo, ce jeune homme qui sourit devant l’avion-fusée X-15 est un pilote d’essai de la NASA. Il deviendra quelques années plus tard une star mondialement connue.
Un avion avec des réacteurs partiellement intégrés à l’arrière du fuselage, c’est le concept sur lequel travaillent l’ONERA et la NASA. Principal intérêt : une diminution de la traînée et donc de la consommation de carburant. Il reste cependant un problème à régler.
L’avion expérimental Grumman X-29, développé pour l’US Air Force au début des années 80, était pourvu d’une aile en flèche inversée. Un prototype atypique pour étudier les avantages d’un tel design.
L’agence spatiale américaine (NASA) a testé pendant près de trois ans un avion unique en son genre : l’AD-1. Cet avion avait la particularité d’être équipé d’une aile pouvant pivoter de 60° en vol. L’intérêt ? Explications en vidéo et dans l’article.
La NASA dispose depuis 2010 d’un observatoire volant. Il s’agit d’un Boeing 747SP équipé d’un puissant télescope. Il permet grâce à une porte coulissante intégrée au fuselage d’observer la composition de l’atmosphère des planètes.
Plusieurs milliers de débris sont en orbite autour de la Terre. Autant d’objets qui représentent des risques de collision pour la station spatiale internationale notamment. Pour tenter de faire le ménage un module récupérateur de débris vient d’être lancé depuis l’ISS.
Deux ans après avoir lancé des études de faisabilité d'un coût de 20 millions de dollars pour la conception d’un jet supersonique silencieux, la NASA vient d’attribuer près de 250 millions de dollars à Lockheed Martin pour développer un démonstrateur.
Le X-15 a servi dans les années 60 de laboratoire volant à la Nasa pour mener des recherches sur les vols à très haute vitesse et à très haute altitude. Cet avion-fusée a notamment contribué au développement de la navette spatiale américaine.
L’Open Rotor actuellement à l’essai est le digne héritier du GE36 développé à partir de 1983 par le motoriste General Electric. Un moteur futuriste qui n’a pourtant jamais été commercialisé. On vous explique pourquoi.
Pour augmenter la fréquence des atterrissages sur un aéroport, la Nasa travaille sur un système qui permettra de réduire la distance qui sépare chaque avion en approche. Une start-up française a développé un outil pour les aider.
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