Plusieurs milliers de débris sont en orbite autour de la Terre. Autant d’objets qui représentent des risques de collision pour la station spatiale internationale notamment. Pour tenter de faire le ménage un module récupérateur de débris vient d’être lancé depuis l’ISS.
Ses 196 jours passés dans l’espace ont passionné les français. Thomas Pesquet, cet ancien pilote de ligne devenu spationaute revient sur son parcours et nous livre ses impressions sur l’exiguïté du vaisseau Soyouz lors d'une interview réalisée cette semaine au CNES à Toulouse.
Après 196 jours passés dans l’espace à bord de la station spatiale internationale, l’ancien pilote de ligne Thomas Pesquet a atterri au Kazakhstan ce vendredi 2 juin. L’astronaute français va désormais subir une batterie d'examens médicaux en Allemagne. Découvrez les moments forts en vidéo de ce voyage retour.
Initialement prévu le 15 mai, le retour sur Terre de l’ancien pilote de ligne Thomas Pesquet a été reporté au 2 juin prochain. L’astronaute français bénéficie donc de 19 jours supplémentaires à bord de l’ISS.
Thomas Pesquet a effectué sa première sortie dans l’espace ce 13 janvier. Un rêve pour le jeune spationaute français. Au programme de cette sortie extravéhiculaire : le remplacement de vieilles batteries par de nouveaux modèles lithium-ion. Voir la vidéo sans commentaire. Lire l’article pour en savoir plus.
Thomas Pesquet, ancien pilote de ligne chez Air France, vient de partir pour l’espace. Sur la base de Baïkonour, le lanceur Soyouz a décollé hier le 17 novembre pour rejoindre la station spatiale internationale (ISS). Il y restera six mois. Voir la vidéo du lancement, sans commentaire. Lire l’article.
Ancien pilote de ligne, Thomas Pesquet s’apprête à effectuer une mission de six mois dans l’espace à bord de la station spatiale internationale (ISS). Son départ est prévu le 16 novembre. Découvrez ses impressions dans l'interview vérité d'Europe 1. Lire l’article.
Un succès. Le prototype d’avion spatial de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) qui mesure cinq mètres de long et deux mètres de large s’appelle « IXV » (Intermediate eXperimental Vehicle). Et grâce à lui, l’Europe vient de démontrer ce 11 février qu’elle est désormais capable de ramener des véhicules sur Terre depuis l’espace.
Faire voyager des passagers à huit fois la vitesse du son, c’est le défi que s’est lancée l’agence spatiale européenne (ESA). Depuis 2005, 17 millions d’euros ont été consacrés à la faisabilité d’un avion hypersonique, le Lapcat.
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