Avec Concorde c’est toujours le même engouement, les prix s’envolent. Dans cet hôtel des ventes à Toulouse, plus de 1 000 lots appartenant au supersonique sont mis aux enchères. Il y a le fameux machmètre, de la vaisselle, un casque d’écoute mais aussi des pièces plus étonnantes.
Plus volumineuses, elles sont stockées ici dans cet entrepôt. Caché derrière, il y a par exemple cet imposant pneu Michelin d’1,30 m de diamètre qui équipait le train d’atterrissage principal de Concorde. Ultra-résistant, il a permis au supersonique de reprendre les airs en 2001.
Me Camille Chabroux, Commissaire-priseur – Etude de Me Marc Labarbe : interview dans le reportage.
Le pneu restera en France. L’acheteur qui souhaite garder l’anonymat est du sud-ouest. Autre objet rare mis en vente : ces deux sièges, témoins des débuts de l’aventure du supersonique.
Me Camille Chabroux, Commissaire-priseur – Etude de Me Marc Labarbe : interview dans le reportage.
Mis à prix à 1 500 euros, les fauteuils vont trouver preneur à 2 400 euros. Ils partiront prochainement pour Miami aux Etats-Unis. Treize années après son dernier vol commercial, la magie Concorde opère toujours.