C’est Hu Huazhi, le Pdg d’Ehang, qui conduit et il est heureux. Ce dernier explique qu’au début de l’aventure, personne ne voulait monter à bord de son taxi volant, mais qu’aujourd’hui après plus de mille vols d’essai, c’est tout l’inverse. Il faut dire que la machine a été testée à 130 km/h, à 300 m d’altitude, lors d’un cyclone de force 7 et elle a même parcouru 15 km.
Le Ehang 184 peut être piloté mais aussi et surtout, c’est là l’intérêt, être complètement autonome. Preuve en est début février avec ces deux pontes de la société basée à Guangzhou, près de Hong Kong, qui ont joué les passagers. Ces gaillards pèsent 210 kg à eux deux mais il en faut plus pour effrayer les 16 rotors. Et une fois en l’air, ils en redemandent.
En transportant ses premiers passagers le taxi volant chinois a pris une longueur d’avance sur ses concurrents mais la société reste prudente. Ehang qui développe simultanément une version mono et biplace ne se risque pas en effet à donner la moindre date d’entrée en service de sa machine.
Max
Posté le 18/05/2019 à 16h39
Les rotors sans carénage ! Aïe ça va découper , trancher dans le vif aux abords de ce taxi...
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Momo
Posté le 29/03/2018 à 23h35
Champions
Vive les chercheurs
Courageux et entrepreneurs
Que dieu vous aide pour le bien de l'humanitė
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