Des sièges d'avion en mousse biodégradable, des turbines mieux synchronisées pour réduire le bruit des moteurs : on peut dire que le programme de recherche européen Clean Sky a inspiré le monde de la recherche aéronautique. A l’occasion du salon aéronautique ILA de Berlin, Clean Sky 2 a présenté sa nouvelle académie pour les jeunes chercheurs. L'objectif : créer un lien plus fort avec les jeunes scientifiques pour inventer l'aéronautique du futur.
Jean-François Brouckaert, chef de projet programmes de recherche moteurs - Clean Sky : interview dans le reportage.
Jusqu'ici, Clean Sky travaillait essentiellement avec les universités et les centres de recherches. Désormais, les étudiants auront l’opportunité de participer directement au programme Clean Sky avec ces projets de recherche. Et peut-être recevoir, comme ce jeune chercheur de l'Université de Nottingham, le prix de l’académie Clean Sky.
Tao Yang, enseignant-chercheur en électronique aérospatiale - Université de Nottingham : interview dans le reportage.
Une douzaine de projets tous plus pointus les uns que les autres étaient en compétition cette année. Le jury a considéré que l'outil que développe Tao Yang répondait le mieux aux enjeux du secteur, notamment la conception d'avions de plus en plus électriques.
Tao Yang, enseignant-chercheur en électronique aérospatiale - Université de Nottingham : interview dans le reportage.
Avis aux amateurs, Clean Sky 2 lance un nouvel appel à projets dans trois semaines.
