L’aviation légère de l’armée de Terre française (ALAT) compte pas moins de 300 hélicoptères. Des machines qui ont besoin d’être maintenues en conditions opérationnelles en permanence.
Direction le 9e régiment de soutien aéromobile de Montauban dans le Tarn-et-Garonne. Un lieu stratégique où sont coordonnées toutes les opérations de maintenance. Dans cet entrepôt sont stockées toutes les pièces de rechange des Gazelle, Puma, Caïman et autre Caracal. Plus de 45 000 références au total.
Colonel Emmanuel Delplancq, chef de corps du 9e RSAM (régiment de soutien aéromobile) : interview dans le reportage.
C’est aussi ici qu’à lieu l’entretien d’une partie de la flotte des hélicoptères de l’ALAT. Chaque année, une quinzaine de machines sont désossées dans ces ateliers, inspectées, réparées puis remises en opération à l’image de ce Tigre d'Airbus.
Colonel Emmanuel Delplancq, chef de corps du 9e RSAM : interview dans le reportage.
Mais la grande majorité des hélicoptères de l’ALAT sont révisés chez le constructeur et les sociétés de maintenance. Au total 500 personnes, civils et militaires, se relaient 24H/24 et 7j/7 pour maintenir en conditions opérationnelles les hélicoptères de l’armée de Terre.
tori
Posté le 29/03/2018 à 15h34
Une question hors sujet mais qui peut donner lieu à un nouveau sujet :
Pourquoi les avions de ligne n'ont jamais été pourvu de réservoir sous les ailes comme sur les avions militiares ?
Ca semble être un moyen simple de faire passer un avion de court à long courrier.
Je ne me vexe pas si vous supprimer.
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Teuchteu
Posté le 29/03/2018 à 17h17
Pour les avions de lignes, les constructeurs proposent des réservoirs internes en option , les réservoirs externes présentant une trainée accrue, et quid de la sécurité?
Pour les militaires, l'intérêt est la reconfiguration en fonction de la mission et (est-ce encore souvent le cas?) de larguer les réservoirs en cas de besoin.
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