Grâce à ses formes aérodynamiques et ses quatre puissants turboréacteurs Concorde n'avait besoin que de 3H30 pour traverser l'Atlantique. Mais voler à deux fois la vitesse du son n'était pas sans conséquence sur le fuselage de l'avion.
En vitesse de croisière à plus de 2 100 km/h et malgré une température extérieure de -60° Celsius le nez du supersonique atteignait les 127°. Cet échauffement entrainait une expansion du métal. Pour limiter cette déformation son fuselage était fabriqué avec un alliage d’aluminium spécifique. Reste qu’à Mach 2 Concorde s’allongeait tout de même de 23 cm. L’avion retrouvait sa taille normale une fois revenu en vitesse subsonique.
Noel
Posté le 19/11/2018 à 21h40
trop beau, mais un mythe du passe.
Je comprends pas que des compagnies americaines se lancent la-dessus... Trop cher
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