Crash

Trois semaines après l’accident de l’avion de transport militaire A400M en Espagne, l’enquête continue. Les données des boîtes noires sont exploitables et en cours d’analyse. L’état de santé des deux rescapés du crash s’améliore.
 

Le 8 mai dernier, lors d’un vol d’essai en Slovaquie, la voiture-volante Aeromobil 3.0 est devenue incontrôlable. Le parachute de secours a dû être déployé. Le pilote est indemne.
 

Trois jours après, il est encore trop tôt pour connaître les causes qui ont conduit au crash de l’A400M près de Séville (Espagne). L’enquête coordonnée par le Ministère des Transports espagnol débute.
 

Un Airbus A400M s'est écrasé lors d'un vol d'essai à côté de l'aéroport de Séville. L'accident a eu lieu en tout début d'après-midi, ce samedi 9 mai. Voir la vidéo et lire l'article mis à jour le 11 mai à 10h00.
 

Dans son rapport préliminaire, le BEA confirme que le copilote de Germanwings a bien intentionnellement conduit l’A320 au crash. Plus surprenant, on apprend également que Andreas Lubitz avait fait une « répétition ».
 

Plus de 80% des débris de l’Airbus A320 de la Germanwings ont été collectés. Les enquêteurs procèdent actuellement à l’identification des victimes. Le Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) continue d’analyser les boîtes noires.
 

Les 81 passagers et membres d’équipage du vol d’Asiana Airlines OZ162 en ont été quittes pour une bonne frayeur. Leur appareil, un Airbus A320 à l'aéroport de Hiroshima (Japon) a raté son atterrissage le 14 avril. Voir la vidéo. Lire l'article.
 

Une première lecture de l'enregistreur de paramètres de vol fait apparaître que le pilote présent dans le cockpit a utilisé le pilote automatique pour engager l’avion en descente vers une altitude de 100 pieds (30 mètres).