On connaît désormais les circonstances du crash du Bombardier Q400 de US-Bangla Airlines sur l’aéroport de Katmandou (Népal) le 12 mars 2018. Dans le rapport final des enquêteurs népalais le crash est dû à une mauvaise gestion de l’atterrissage par le commandant de bord. Les boîtes noires ont en effet révélé que le pilote aux commandes était dépressif. Il avait fumé, pleuré et s’était même disputé avec sa jeune copilote au cours du vol.
Au moment de l’atterrissage le pilote est perturbé émotionnellement et désorienté. Lorsqu’il visualise la piste d’atterrissage l’avion est bas, n’est pas aligné dans l’axe et déjà bien loin du seuil de piste. Pourtant, au lieu de remettre les gaz, le pilote décide de se poser. Le train droit de l’avion touche alors violemment la piste, l’appareil continue sa course dans l’herbe, se disloque et s’immobilise 400 m plus loin. Il s’embrase six secondes plus tard. L’accident a fait 51 victimes sur les 71 occupants.
marco
Posté le 11/02/2019 à 14h21
ça fait cher la déprime !
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